Alberto Ongaro
Poche
L’histoire débute à Venise au
XVIIIe s, avec notre héro (ou anti-héro !), Francesco Sacredo, qui, revenu
d’exil, constate que son père a dilapidé sa fortune au jeu. Son adversaire est
une Comtesse allemande, Mathilde von Wallenstein, qui n’a jamais perdu une
partie quel que jeu que ce soit. En baroud d’honneur, Francesco accepte de jouer
contre
la Comtesse mais l’enjeu est dangereux : s’il gagne, il récupère toute la fortune perdue par son père, s’il perd, il doit se donner à
la Comtesse pour le restant de ses jours. Il perd…Plutôt que de se livrer à cette furie, il décide de quitter Venise et de mettre une distance dissuasive entre
la Comtesse et lui. Mais c’est sans compter sur la cruauté de
la Comtesse qui envoie ses sbires sur les traces de Francesco. Un long périple attend Francesco, dans plusieurs pays d’Europe, perdu et aux abois comme une bête traquée. L’auteur rend bien le concept de l’homme apeuré, sans cesse sur le qui-vive mais dont le charme opère sur ses rencontres fortuites qui allègent quelque peu sa tension. Un roman qui se lit comme un policier avec une excellente traduction de l’italien en français.
la Comtesse mais l’enjeu est dangereux : s’il gagne, il récupère toute la fortune perdue par son père, s’il perd, il doit se donner à
la Comtesse pour le restant de ses jours. Il perd…Plutôt que de se livrer à cette furie, il décide de quitter Venise et de mettre une distance dissuasive entre
la Comtesse et lui. Mais c’est sans compter sur la cruauté de
la Comtesse qui envoie ses sbires sur les traces de Francesco. Un long périple attend Francesco, dans plusieurs pays d’Europe, perdu et aux abois comme une bête traquée. L’auteur rend bien le concept de l’homme apeuré, sans cesse sur le qui-vive mais dont le charme opère sur ses rencontres fortuites qui allègent quelque peu sa tension. Un roman qui se lit comme un policier avec une excellente traduction de l’italien en français.
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